Petit conte à reflechir...

Publié le par Alberto Pérez Yanez

On raconte dans un petit village, un groupe de gens s’amusait avec un malheureux villageois faible d’esprit. Un homme de petite intelligence que gagnait sa vie un réalisant des petites taches sans importance et de temps en temps il lui arrivait de mendier pour survivre.

Fréquemment les gens appelaient le petit bonhomme au bistrot de village où ils se réunissaient pour se moquer de lui on lui offrant de choisir entre deux pièces de monnaie : l’une était une grande pièce dont la valeur équivalait à un kilo de blé et l’autre une petite pièce avec laquelle il pouvaient s’acheter deux kilos de blé…

Il prenait toujours la pièce la plus grande, fait qui amusait tout le monde qui riait de la naïveté du bonhomme. La situation se répétait très souvent.

Mais un jour quelqu’un de passage au village qui observait la scène a appelait l’homme et lui demande s’il ne s’était pas rendu compte que la plus grande pièce de monnaie avait seulement la moitié de la valeur de la petite… la réponse du mendiant fut la suivante : Je le sais… Mais le jour que je choisirais la plus petite qui vaut le double de la grande… le petit jeu sera fini y moi je ne gagnerais plus ma pièce !

Cette histoire pouvait se terminer ici, mais on peut obtenir plusieurs réflexions.

Une : Celui qui parait être l’imbécile… n’est pas toujours lui le dindon de la farce…

Deux : Quels sont le vrais stupides de l’histoire ?

Trois : Une ambition démesurée peut finir par couper tous les gains…

Quatre : On peut se  sentir bien même lorsque les autres n’ont pas une bonne opinion de nous. Par conséquent ce qui importe ce n’est ce qui pensent les autres de nous, mais ce que nous pensons de nous-mêmes !

Le vrai intelligent est celui qui peut se faire passer pour un demeuré devant un demeuré que veut se faire passer pour un intelligent !

 

En español :

Se cuenta que en un villorrio, un grupo de personas se divertía con “el tontito del pueblo”,, un pobre infeliz de poca inteligencia, que vivía haciendo pequeños mandados y limosnas.
Diariamente algunos hombres llamaban al tontito al bar donde se reunían y
le ofrecían escoger entre dos monedas: una de tamaño grande de 400 reales
y otra de menor tamaño, pero de 2000 reales. Él siempre cogía la más
grande y menos valiosa, lo que era motivo de risas para todos. Un día,
alguien que observaba al grupo divertirse con el inocente hombre, le llamó
aparte y le preguntó si todavía no había percibido que la moneda de mayor
tamaño valía menos y este le respondió: Lo sé, no soy tan tonto, vale
cinco veces menos, pero el día que escoja la otra, el jueguito acaba y no
voy a ganar más mi moneda.
Esta historia podría concluir aquí, como un simple chiste, pero se pueden
sacar varias conclusiones:

La primera: Quien parece tonto, no siempre lo es.

La segunda: ¿Cuáles eran los verdaderos tontos de la historia?

La tercera:
Una ambición desmedida puede acabar cortando tu fuente de
ingresos.

Pero la conclusión más interesante es:

Podemos estar bien, aun cuando los otros no tengan una buena opinión sobre
nosotros mismos. Por lo tanto, lo que importa no es lo que piensan de
nosotros, sino lo que uno piensa de sí mismo.

"El verdadero hombre inteligente es el que aparenta ser tonto...delante
de un tonto que aparenta ser inteligente"

Publié dans Universel

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